Dragon de Komodo limousin (grandeur réelle) dans nos sous-bois…

Au détour d’un chemin, adossée à un arbre ou un rocher, de l’autre côté du ruisseau qui traverse nos terrains: une cible.

Un caméléon, un lion ou une antilope. En mousse haute densité. Certaines sont criantes de vérité.

Contrairement à la traditionnelle cible anglaise, formée de cercles concentriques de différentes couleurs, la zone à atteindre n’est pas au centre, votre regard n’est pas « guidé » vers cette zone. C’est là une des difficultés de notre pratique, mais ce n’est pas la seule.

Vous vous approchez du pas de tir: une branche, des ombres, le relief vous gênent ? Le soleil qui se glisse dans le sous-bois vous perturbe ?

C’est du tir nature ! A vous de vous adapter, c’est le jeu.

Les parcours: ils sont situés en pleine campagne. Bois, prés, taillis, friches, rives d’un ruisseau constituent notre terrain de jeu.

Les cheminements (2 à 4 kms environ) sont fléchés, les cibles numérotées et les pas de tir sont matérialisés par des petits piquets colorés.

Les distances de tir s’échelonnent de quelques mètres à une cinquantaine de mètres et sont différentes à chaque pas de tir. A vous d’estimer la distance, et cela n’est pas toujours simple.

En compétition, en fonction du type de parcours, l’archer peut tirer quatre, trois ou deux flèches, mais aussi parfois une seule !

Autre particularité: ici, tous les types d’arcs sont utilisables, de l’arc à poulies dernier cri avec viseur et décocheur à l’arc historique (voire même préhistorique), en passant par le recurve, le long-bow et autres. Chacun peut se faire plaisir avec l’arc qui l’inspire.

(à ce propos, je mettrai en ligne, prochainement, une page dédiée au matériel)

Compétition ou non, recherche du score ou pas, à vous de choisir. Pour nous, l’essentiel, c’est le plaisir.

Il serait trop long de détailler ici toutes les particularités de ce sport et du matériel utilisé. Une seule solution, venez nous rencontrer sur nos terrains.